Soleil couchant

Armand profite de son pemier jour de villégiature

pour regarder les filles qui marchent dur la plage...

Malheureusement, c'est l'heure bleue où toutes les jolies dames

sont rentrées aux bercails ou parties au restaurant de la plage  en bonne compagnie .

Mais c'est alors qu'il aperçoit une petite main qui lui fait signe.

Assise sur son rocher, Léonce est juste en train de chasser les moustiques,

enfin, c'est qu'elle dira quand Armand l'accostera...

Pour sa défense on ne peut que constater, en effet,

qu'elle lui tourne le dos...

Enfin, cette situation ne dura pas longtemps.

Car Armand la rejoignit, ses yeux bleus l'avaient séduit déclarera-t-il

Comment avait-il pu les voir de dos, c'est un des mystères de l'amour.

Quoiqu'il en soit, ils passèrent beaucoup de temps ensemble...

Et puis, il est retourné là- bas dans le midi

et elle rentra chez elle là- haut dans le brouillard...

Beau mois d'août à vous toutes et tous!

Comments

[tilk]

quand je vois tout ça j'imagine le travail que cela doit être

bravo

muchos besos

tilk

[FeeLaure]

Une belle histoire touchante comme tu sais nous les offrir avec de belles mises en scènes, bravo et merci Maryline

Gros bisous et douce soirée

[espiguette]

Très joli message estival, avec toujours de nouveaux personnages, toujours renouvelés ! Merci Dame Nany et bon été à toi aussi :-)

[BrunellaCarol]

C'est toujours un agréable plaisir de te lire :)... Belle et douce journée... Bises Brunella

[fleurdesprairies]

C'est vrai qu'à la Belle Epoque, sur la plage du Crotoy, z'étaient chouettes les filles du bord de mer...Il y avait le ciel, le soleil et la mer...Ce n'était pas encore sea sex and sun, ni l'amour à la plage ou tout nu et tout bronzé, mais plutôt la plage aux romantiques...C'est donc Armand qui accoste timidement Léonce, sur la plage abandonnée.

"Est ce que tu viens pour les vacances?"

"Oui, de juillet jusqu'à septembre"

"J'ai attrapé un coup d'soleil"

Laissons les faire connaissance en toute intimité...

Mais quand vient la fin de l'été sur la plage, il faut alors se quitter, adieu petite fille du soleil! Je ne pourrai plus me perdre à l'encre de tes yeux.

C'est une histoire intemporelle que tu nous contes là, Maryline.

Bisous

Odile